Dans Croire au merveilleux, on retrouve César, personnage rencontré dans le précédent roman de l’auteur, Plonger qu’il n’est d’ailleurs pas nécessaire d’avoir lu. Depuis la disparition de Paz sa femme adorée, César est inconsolable et dans une telle détresse qu’ il décide de mettre fin à ses jours. Son suicide est bien orchestré, Hector confié à ses grands-parents, les médicaments achetés en dose suffisante, César est prêt. Mais son geste est interrompu par la visite de sa jeune et magnifique nouvelle voisine, qu’il va suivre dans un voyage onirique et hellénique où il trouvera peut-être enfin les réponses à ses questions.
Je n’ai malheureusement pas réussi à croire au merveilleux ! Et quel dommage parce que je me faisais une joie littéraire de ces retrouvailles. Peut-être que, tout juste lu après La salle de bal de Anna Hope, ce roman a souffert de la comparaison. Je n’y ai pas cru, je me suis ennuyée…