Mince, encore raté ce rdv avec Grégoire Delacourt. J’avais pourtant vraiment beaucoup aimé le premier La liste de mes envies, j’avais hâte de lire le deuxième et puis j’avais été déçue. Un troisième ? Youpi, ça va me plaire ! Nan, toujours pas. Et ça continue, quatrième et voilà le cinquième mais je ne retrouve toujours pas le raconteur que j’ai aimé dans La liste. Je ne peux pas dire que ce ne sont pas des bons romans, ils ont tout, mais je m’ennuie en les lisant. Le sixième arrive, La femme qui ne vieillissait pas, et encore une fois, le résumé me fait envie, alors je vais le lire c’est sûr, à la recherche de la petite étincelle.
Dans Danser au bord de l’abîme, je n’ai pas frôlé l’abîme, je ne me suis pas attachée à l’héroïne, je n’ai pas été troublée par ses émotions, je n’ai pas cru à ses amitiés. Le seul moment qui m’a un peu émue concerne la maladie Olivier et encore, pour ceux qui le liront, je ne parle pas de la fin, que j’ai trouvée ordinaire.
Danser au bord de l’abîme / Grégoire Delacourt – Editions JCLattès – janvier 2017 – 320p